Chanteuse
Auteur
Compositeur
"Que je me souvienne"
(Paroles: Sandrine Aubertin
Musique: Eric Miller)
Vois-tu approcher ces pensées?
Qui viennent pour nous apprivoiser
Qu' elles soient flétries ou bien jolies,
Elles sont venues s' enraciner
Dans le terreau de nos esprits.
Elles s'imposent et se multiplient,
Elles envahissent toute ma vie!
Idées pas sages, pensées sauvages!
Elles poussent la nuit, puis nous surprennent.
Idées pas sages, pensées sauvages!
Ni encerclées, ni piétinées,
Idées pas sages, pensées sauvages,
Elles veulent grandir en liberté!
Ce sont des indisciplinées,
Des réflexions inopinées,
Un peu rêveuses, pas trop dociles,
Ne cherche pas à les dompter:
Tes efforts seraient inutiles!
Si leur doctrine te semble futile,
Elles reste pourtant indélébile!
dées pas sages, pensées sauvages!
Elles poussent la nuit, puis nous surprennent.
Idées pas sages, pensées sauvages!
Ni encerclées, ni piétinées,
Idées pas sages, pensées sauvages,
Elles veulent grandir en liberté!
En liberté!...
Et ce silence
Est comme une parole solennelle
Et cette souffrance
A tué le soleil de mon ciel
Quand tu es partie là-bas,
J' ai perdu un peu de moi.
Mon coeur déchiré en deux,
N'est plus qu' un fossile miséreux.
Je voudrais que tu reviennes
Car ton absence me malmène.
Mes larmes à ton linceul se mêlent,
Je cherche ton visage immortel.
Tu as marqué de ta voix
Mes larmes et mes sourires,
Tu as scellé de ta loi
Mes goûts et mes soupirs,
Les premiers pas de ma vie.
Je voudrais que tu reviennes
Car ton absence me malmène.
Mes larmes à ton linceul se mêlent,
Je cherche ton visage immortel.
Et cette peine,
C'est fou comme elle accourt
Me noyer de sa haine
Sans cesse je manque de ton amour.
C'est comme une sueur de glace
Dans mon dos, comme un rapace
Capturant sauvagement sa proie
Dans un puissant cri d' effroi.
Je voudrais que tu reviennes
Car ton absence me malmène.
Mes larmes à ton linceul se mêlent,
Je cherche ton visage immortel.
Je voudrais que tu reviennes
Car ton absence me malmène.
Mes larmes à ton linceul se mêlent,
Je cherche ton visage immortel.
Je cherche ton visage immortel...
Nos jeunes années se vident
Notre printemps se ride
Et je n' ai plus le goût d'inventer des chemins
Notre bon temps s'effrite
Vite beaucoup trop vite
Mais du passé je ne regrette rien
Nos belles années s'éloignent
De Mayenne en Bretagne
Quand peu à peu s'effacent les souvenirs d'avant
Sur sa terre comme en ville
Chacun de nous s'exile
Nous ne seront jamais que des passants
Nos bonnes années pâlissent
Quand les soucis se tissent
Et j' en oublie parfois de te prendre la main
Mais quand l'espoir bourgeonne
Chacun de nous s'étonne
D'attendre le meilleur
Du jour qui vient
Nos frêles années chavirent
Quand nos ombres s'étirent
A l'heure où l' on sait rire de ses premiers tourments
A deux ou solitaires
Nous voguons en croisière
Vers un pays promis depuis longtemps
Vers le Ciel, sur la Terre
Chacun à sa manière
Nous ne serons jamais que des passants
Vers le Ciel, sur la Terre
Chacun à sa manière
Nous ne serons jamais que des passants
Nous ne serons jamais que des passants